Corsair traîne des pieds
En vacances au Canada, M. et Mme N., un couple de Chaumont-sur-Loire (41), s’apprêtent à regagner la France. Au moment d’embarquer, l’avion ne peut accueillir tous les passagers. La compagnie Corsair propose alors à des volontaires de prendre un vol Air Canada qui arrive à Paris dans un autre aéroport que celui de Corsair moyennant un dédommagement de 300 € par passager. M. et Mme N. acceptent et, sitôt arrivés à Paris, adressent tous les documents nécessaires à Corsair pour procéder au dédommagement. Leur demande est agréée par courrier de la compagnie 15 jours plus tard mais l’argent promis n’arrive pas. Le couple relance Corsair une fois, deux fois… Une lettre chèque de 600 € leur est enfin expédiée mais le chèque n’est pas valable, car la somme inscrite en toutes lettres ne correspond pas. Dépité, le couple contacte l’UFC-Que Choisir du Loir-et-Cher. L’association locale rappelle les faits à Corsair par téléphone, puis par courrier. À force d’insister, elle obtient l’envoi d’une nouvelle lettre chèque de 600 €, correcte cette fois.