Ça gaze pas fort
Un habitant de Loire-atlantique écrit à Vitogaz pour mettre fin à son contrat souscrit en septembre 2000 pour l’abonnement de sa citerne domestique. Il respecte le préavis prévu mais le fournisseur retient sur son dépôt de garantie 780 € de « frais d’enlèvement » pour rupture anticipée du contrat. Le désaccord porte sur la date anniversaire dudit contrat : le 20 septembre, date de signature par le client, ou le 20 décembre, date de la première livraison selon Vitogaz. Le client contacte l’UFC-Que Choisir de Nantes, qui écrit à Vitogaz pour expliquer que la date ne peut être que celle de la signature, date du consentement et de l’accord sur la chose et le prix. Faute d’accord, l’association locale conseille au client de défendre sa cause devant le juge de proximité. Vitogaz a été condamné à rembourser les 780 € retenus à tort.