Ça coince à la porte du garage
Un couple de la Haute-Vienne est démarché par une société qui vend des portes de garage. Le commercial sait se montrer si persuasif que le ménage signe dans la foulée un bon de commande et verse un acompte d’un montant de 1 200 €. Le lendemain, il se penche sur le bon de commande. Celui-ci est sale, raturé et quasiment illisible. Le couple décide alors d’annuler son achat. Sans perdre un instant, et comme la loi le lui permet, il envoie une lettre recommandée avec accusé de réception en ce sens à la société. Mais son chèque d’acompte n’est pas renvoyé pour autant. Les consommateurs confient alors leur dossier à l’UFC-Que Choisir de Haute-Vienne. Après deux courriers de l’association locale rappelant à l’entreprise la législation en cas de démarchage à domicile (droit de rétractation de sept jours notamment), son directeur finit par adresser au couple un chèque de 1 200 €.